Caractère

Fier, oh ça oui tu es fier. Tu détestes quand on t’impose une façon de penser. Tu es du genre à montrer par diverses théories que tes idées sont les meilleures. Tu adores montrer que tu n’es pas du genre à te laisser faire. Tu tiens tête assez souvent à ton paternel. Tu ne supportes plus ses manigances. Tu sais qu’il est corrompu. Mais tu fermes les yeux. Tu sais que les clans se jouent de sa faiblesse… l’argent. Tu te sais beau et tu en joues  beaucoup. Tu discutes parfois les ordres quand tu les trouves injustes. Mais tu les écoutes tout de même.  Tu es arrogant… Tu n’aimes pas devoir te justifier sur tout ce que tu fais. Les ordinateurs et les mathématiques n’ont aucun secret pour toi. Tu analyses les chiffres, tu adores trouver les failles dans les systèmes financiers de certaines entreprise. Tu adores voir tes clients trembler quand tu passes la porte de leur entreprise. Tu adores les rendre nerveux quand il pense que leur dossier son clean et que tu ne verras jamais les transactions frauduleuses... Tu aimes avoir se sourire de connard quand tu sais qu’il y a anguille sous roche. Tu attends souvent de voir comment ils vont essayer d’acheter ton silence... Tu n’as rien trouvé de mieux que de suivre ton paternel dans la police. N’étant pas un homme de terrain, tu préfères jouer avec les finances. Dans ton domaine tu cartonnes. Tu es quelqu’un de territorial. Tu n’aimes pas qu’on touche à ton outil de travail. Tu es d’un naturel patient, tu prends ton temps pour monter un dossier. Quand tu étudies un sujet tu as tendance à faire milles recherches. Tu apprends assez vite. Du coté familiale, tu es proche de ton père. Même s’il ne parle jamais de ton autre géniteur. Sa perte a été trop dure. Tu as été éduqué comme un alpha, après tout tu en es un. Tu vis tes ruts généralement seul, tu as une sacrée collection de jouets pour te soulager dans ces moments-là. Tu es insatiable voir irritable quand tu n’as pas de partenaire. Pour éviter d’engrosser n’importe qui, tu te protèges pas mal. Tu vérifies toujours que tu as des protections. Dans les moments de baise… oui c’est comme ça que tu appelles ça, tu es généralement dominant, tu aimes contrôler. Quand ton partenaire se rebelle un peu trop, tu as tendance à l’attacher ou alors tu lui montres ta dominance assez rapidement. Tu sais que tu peux être tendre quand tu ressens de l’affection pour une personne. Tu n’as jamais trouvé ton âme sœur mais tu ne perds pas espoir. Ton père te rabâche souvent qu’il veut une descendance… D'ailleurs tu as une préférence pour les hommes. Tu n'as jamais aimé les courbes féminines. Trouvant la dureté du corps masculin beaucoup plus attractif et serré. Tu aimes particulièrement les odeurs un peu musquées et  celle de l'herbe fraichement coupée. Tu es du genre froid avec les gens qui viennent t’aborder. Mais il t’arrive de courber l’échine devant un autre alpha plus imposant que toi. Tu grognes, râles, parfois du gagne et d’autres tu perds. C’est le jeu quand tu te frottes à plus fort que toi. Tu as des faiblesses. Tu n’aimes pas les pièces étroites. On peut clairement dire que ça te rend mal alaise quand il n’y a pas de fenêtre dans une pièce. Le médecin du poste de police, t'a indiqué que tu étais claustrophobe. Ça il le savait depuis longtemps. Mais tu essayes de cacher cette peur.

Physique

En te plaçant devant son miroir, tu replaces ses cheveux mi long bruns. Ils sont coupés assez cout sur les côtés et offres des mèches plus long sur le devant. Tu replaces assez fréquemment ta frange en arrière ou sur le côté, selon ton humeur. Tu possèdes un visage assez fin avec un menton prononcé. Un nez droit vient habiller ton minois. Tu te rases tous les matins de près pour éviter cette sensation de piquant. Tu aimes avoir la peau lisse et tu prends soin de ta peau. Celle-ci est assez pale, décidemment tu ne passes pas assez de temps au soleil. Tu n’aimes surtout pas t’exposer comme un lézard. Tu as une bouche munie de lèvres fines. Ta dentition est presque parfaite, composé de deux canines un peu plus pointues. Ton regard en met plus d’un mal alaise. La couleur hématite de tes globes oculaires te donne un air  froid. Malgré le feu ardent que tu gardes en toi. Tu observes le reste de ton corps, ton cou est large, tes clavicules sont apparentes. Tes épaules sont également larges. Ta musculature n’est pas aussi fourni qu’un bodybuilder qui pousserait à la salle tous les jours sous stéroïdes. Mais tu possèdes tout de même un corps musclé. Tes pectoraux sont bien dessinés, ton ventre est parsemé de tablette apparente. Tes hanches sont fines, on peut clairement dire que tu as un corps en V. De dos, on peut voir que lui aussi n’a pas été laisser à l’abandon lors de tes séances d’entrainement quotidien. Tu possèdes également un fessier assez rebondi.  Une paire de jambes longue. Tu possèdes un attribut de mâle alpha. Tu n’es pas honteux de ton corps.  Tu te sais beau et tu la montre en portant des vêtements adaptés à ta morphologie. Tu es grand, si on devait te mesurer, le chiffre exact serait un mètre quatre-vingt-huit. Et la dernière fois que tu t’es pesé, tu faisais quatre-vingt-trois kilos. Quand tu te plantes devant ton dressing, tu as toujours le choix. Tu possèdes une garde-robe qui pourrait rendre jaloux un magasin de fringue. Tu as toujours aimé les costumes. Surtout quand tu dois aller faire une inspection chez un client. Ça te donne une certaine prestance. Mais tu possèdes aussi pas mal de pull, des gilets, de chemise de diverses couleurs. Tu ne comptes pas les jeans et pantalons que tu possèdes. Tu as également pas mal de chaussures.  En fouillant bien on peut même trouver une boite. Celle-ci contient tous tes jouets que tu gardes jalousement pour tes moments de ruts. Tu as également pas mal d’accessoires, montre, ceinture et bien évidement deux ou trois paires de lunettes adaptés à ta vue. Tu te sers pas mal de lunettes quand tu dois passer des heures devant tes écrans. Tu détiens un uniforme de police, que dis-tu, un seul ? Non tu en as plusieurs. Après tout tu aimes avoir toujours une tenue de rechange si jamais tu dois te changer rapidement. Un accident est vite arrivé au boulot.
Niveau odeur: Musc de cannelle avec un soupçon pimenté

Histoire

Tu remontes tes lunettes qui glissent sur l’arrêt de ton nez. Concentré sur un dossier, tu ne vois pas l’heure passer. Tu finis par lever la tête. Tu te rends compte que sur la majorité des bureaux, la lumière est éteinte. Tu te souviens vaguement d’avoir dit au revoir à ton chef un peu plus tôt dans la soirée. Mais là, Il n’y a que toi… L’oiseau de nuit qui aime rester tard. Tu n’es pas pressé de rejoindre ton loft.  Tu déposes ton stylo derrière ton oreille, tu soupires de lassitude. En ouvrant ton tiroir, tu cherches cette bouteille de scotch avec un verre. Tu te sers sans ménagement avant de laisser cette bouteille sur ton bureau. Tournoyant le liquide ambrée dans ce verre, tu te mets à cogiter. Jusqu’à ce que ton téléphone sonne. Le mot *père* apparait sur l’écran, tu n’es vraiment pas d’humeur à subir un interrogatoire. Il te tanne pour avoir des petits enfants. Il ne comprend pas que ça ne sert à rien de te mettre la pression. Tu comptes jusqu’à cinq avant de décrocher. Ta voix grave s’élève comme blasé d’avance.
« Qu’est-ce que tu veux… »
« Comment ça qu’est-ce que je veux, c’est comme ça que tu me réponds. Moi qui avais une nouvelle pour toi. »
Tu fronces les sourcils ; qu’est-ce que le vieux à encore imaginé. Tu prends sur toi.
« Oui oui, bonsoir cher père... Maintenant balance ta nouvelle, Oh grandiose. » Tu lèves les yeux en l’air, heureusement qu’il ne te voit pas faire ou tu aurais reçu une tape derrière la tête.
« Ah quand même ! Alors sache que je t’ai organisé un rendez-vous avec le fils d’une grande start-up ! »
Tu soupires une fois de plus avant de jurer à voix basse… Tu le savais… tu n’aurais pas dû décrocher ce téléphone.
« Père ! Je refuse catégoriquement d’entendre parler de ça ! »
« Matthy arrête ton char tu vas y aller ! »
« Non... Débrouilles toi, je refuse. »
Tu ne lui laisses pas le temps de répliquer. Tu raccroches en laissant tomber ton téléphone brusquement sur le bureau. En y repensant tu regrettes de ne pas avoir eu de frère. Au moins il aurait pu harceler quelqu’un d’autres que toi. Tu es maintenant légèrement grondant…tu bois d’une traite ce verre que tu avais remplit précédemment. Tu observes la photo que tu as dans ton tiroir. Une photo de ton père et toi lors de la réception de ton diplôme à l’académie de police. Tu replonges dans tes souvenirs.

Tu es né un dix novembre. D’après ton père c’était une nuit agitée. Il avait dû te raconter pourquoi il était seul à t’élever. Ton autre père un homme anglais, alpha de surcroit. T’avait donné la vie et avait succombé. Ton paternel l’aima comme un fou, jusqu’à son dernier souffle. Ton père a beaucoup pris sur lui pour t’élever, il t'avait donné le prénom de Mathias Anderson, en mémoire de ton paternel mort, qui avait toujours voulu t'appeler comme ça. Il a bafoué ses principes. John était un policier droit, qui ne laissait pas les clans le diriger. Non il ne voulait aucunement se laisser tenter par les pots de vins. Mais quand les finances s’étaient subitement écroulé. L’agent de police qu’il était, se laissa entrainer. Fermant les yeux sur certains faits. L’un des hommes de la famille Orlovs lui avait vanté que son clan pouvait le rendre riche, s’il acceptait de fermer les yeux. De les renseigner sur les rondes, afin qu’ils puissent faire leur trafic tranquillement. John courba l’échine. Il avait son fils à élever.

Tu ne manquas rien durant ton enfance. Ton père malgré son boulot faisait en sorte de subvenir à tes besoins. Il commença assez tôt à t’élever comme l’alpha que tu allais devenir. Tu ne demandais pas beaucoup d’attention poupon. Tu pleurais seulement quand tu avais faim ou lorsque ta couche était souillée. Tu gazouillais comme l’enfant innocent que tu étais à cet époque. Ton père pouvait travailler sur ses dossiers à la maison, tu étais un enfant que tout parent souhaite pour un premier enfant.  Quand tu commenças à marcher, ton père ne loupa pas cet évènement. Tu t’étais redressé sur tes guiboles, t’aidant de la bibliothèque du salon. La fierté se lisait sur le visage de ton père. Quand les affaires se succédait, tu étais souvent gardé par un ami de la famille. Tu le considères comme ton second papa. Yuki était un oméga. Le voisin qui exerçait un métier de fleuriste. Sa boutique se situait juste à côté de la maison. Ton père avait fait des recherches sur lui. Faisant attention à qui, il laissait son fils pendant ses absences. Les soucis financiers de ton père commencèrent après une affaire qui tourna mal. Il passait son temps avec de mauvaises fréquentations. C’est à tes douze ans que ton paternel céda et que tu vis des objets, des vêtements plus luxueux envahir ton monde. Toi tu t’en moquais, tu pensais que ton père avait eu une promotion. Ou alors qu’il avait peut-être gagné le gros lot. Toi, tu te contentais de vivre ta vie. Le précepteur que ton père engagea t’enseigna les matières principales, tu développas une facilité déconcertante pour les mathématiques. Les chiffres te fascinaient. Tu aimais étudier. Ton enseignant parla à ton père de ton intelligence, il gonfla sa poitrine de fierté. Pour lui, c’était naturel que tu sois quelqu’un de supérieur.  Quand tu entras en période de ruts pour à tes quatorze ans, ton père t’enferma dans une pièce. Tu étais incontrôlable. Tu devenais insupportable. Il te le fit remarquer en t’indiquant que tu puais la cannelle et les épices. Dans cette pièce tu te frottas comme un dégénéré contre ton lit. Te soulageant manuellement. Tes cours étaient mis de côté à ses moment-là. Heureusement que ça ne durait pas tout le mois.

Par la suite, ton père t’inscrit dans une école réputé pour n’avoir que des alphas. Tu devais te mêler à la population. Même si tu vagabondais par fois dans les rues étant plus jeune. Tu étais déjà grand, fins, svelte. Comparé aux autres alphas, tu semblais un peu trop chétif. D’ailleurs on t’embêta beaucoup là-dessus.  Ta fierté en prit un coup. A parti de tes quinze ans, tu commenças un entrainement sportif. Courant tous les matins, pratiquant de la musculation sous les ordres de ton père. Tu continuais d’étudier tout ce qui touchait aux finances, au mathématique. Quand tu eus l’âge de faire une école de police, tu t’engageas sur cette voie. Ton père heureux que tu suives ses traces, il t’encouragea. T’apprenant les ficelles du métier. Bien que tu voulais te spécialiser, tu complétais ta formation avec toutes les connaissances que tu pouvais acquérir. Tu étais une tête et ça tu le savais. Tu compris assez rapidement que tu avais peur des endroits clos. *Maudite porte* tu étais resté enfermé dans la cave par inadvertance. C’est seulement quand ton père rentra que tu sortis de cette pièce, tétanisé. Ton père te conseilla de taire cette peur. Tu l’écoutas.  

Etant plutôt bon dans le domaine de la finance et économique. Tu postulas une fois ton diplôme obtenu à l’académie de police, dans le département adéquate. Tu exploitas tes connaissances et tes actions sur le terrain. Les dossiers s’enchainaient, tu avais de bonne relation avec tes collègues. Tes supérieurs ne se plaignent que très peu de toi. Ton père avait beaucoup parler de toi à des contacts. Vantant tes compétences. Tu te fis quelques clients. Tu les appelles tes extras. Tu découvris par divers preuve les délits de ton père. Tu lui en voulus plusieurs fois d’avoir laissé la famille Orlovs le corrompre. Mais quand il t’avait expliqué ses motivations. Tu avais décidé de fermer les yeux. Tu déménageas dans un loft en plein centre du quartier est de Kyoto. Tu collectionnais les jouets sexuels. Tu caches tes penchants à tout le monde. Il n’y avait que tes amants qui profitent de ton coté sauvage et fougueux. Tu t’es vites rendu compte lors de tes premières chaleurs, que seul les hommes te faisaient de l’effet. Les femmes, tu n’aimais pas leur façon d’être et leurs plastiques. Tu vis bien ta vie. Ton emploi chez les flics te permet de te faire un nom. Tu es craint par certaines personnes. Tu n’es plus le petit chétif de la bande. Non maintenant tu es le grand alpha aux yeux gris. Tu as grandi, atteignant les un mètre quatre-vingt-huit. Ta musculature n’entache en rien ta sensualité et ta beauté.

Une sonnerie de téléphone te fais revenir au présent. Tu sors de tes pensées. Tu passes une main dans tes cheveux pour les recoiffer un peu. Tu prends ton cellulaire pour lire le message que ton père t’a envoyé. Il campe sur ses positions, demandant à ce qu’il ne fasse pas sa forte tête. Comme quoi il doit se caser. Mais toi, tu aimes ta liberté. Tu veux laisser une chance au destin de te mettre ton âme sœur dans les pattes. Tu te lèves de ton siège. Attrapant éteignant ton ordinateur et la lumière de ton poste de travail. Tu finis par répondre à ton père que tu ne veux pas de rendez-vous arrangé… qu’il doit rester patient.  L’avenir est fait de mystère que le destin n’explique pas.