Masahiko Omori
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De nos jours, Kyoto est divisée en deux clans bien distinct. Saito et Takahashi, se battent pour être la première puissance mondiale. Une alliance entre les deux a fini par voir le jour. Que va-t-il se passer ? La mafia finira-t-elle par prendre le dessus sur les Saito ? Ou inversement ? Plongez au cœur de cette ville pleine de mystères. Incarnez un alpha, un omega ou un beta. Soyez prêt à faire face aux caprices des deux clans. Vivez une expérience unique.
Update
20/11/22
Mise en place du sujet des rps aléatoires.

20/11/22
Relocalisation des demandes de DC et de reboot, qui reviennent sur le forum ! Vous pouvez faire vos demandes ici !

06/11/22
MàJ du channel absence sur Discord : Toute absence supérieure à 3 semaines doit maintenant être obligatoirement postée sur le forum pour être prise en compte.

05/09/22
Recensement général des membres!

01/01/22
Tout le staff vous souhaite une bonne et joyeuse année! On vous aime fort!

29/12/21
Installation du nouveau design ! Merci à Leonis pour ce cadeau de Nowel!

01/10/21
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Les Rumeurs
In RP & In Discord
La famille Orlov : Ce n'est pas une rumeur, mais une réalité, suite aux événements qui se sont passé dans le casino, la famille Orlov avait déclaré la guerre aux deux clans réunis sous la bannière des Takahashis. Le message est clair, tous les coups sont permis pour vaincre. Désormais, une question se pose, en qui il doit, on avoir confiance. Car ci pour certains serait plus du côté du nouveau clan, pour d'autres, il faut avoir confiance en la police. Que va-t-il se passer par la suite ? Va-t-il y avoir une affreuse guerre conduisant pas mal de monde à une mort certaine ? Seul le temps le sait... Vous n'avez plus qu'à prier pour votre sort !

Clan Saito - Clan Takahashi : Suite à une annonce lors de la soirée du tout nouveau casino, il n'y aura pas, désormais, plus qu'un seul et unique clan. En effet, les Takahashi et les Saitos fusionnent. Cependant, certaines personnes ont du mal à y croire voire même à l'accepter. Pour elles, il y a d'autres raisons, des choses que l'on ne nous dit pas. C'est pourquoi quelques personnes ont décidé de jouer les détectives et de résoudre cette affaire.
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Masahiko Omori
Alpha
Masahiko Omori
Messages : 25
Emploi : Saiki-komon & Diplomate
Âge : 28 ans
Humeur : Massacrante
Fiche de présentation : Turning your mind into my home.
Dim 30 Jan - 12:19



Omori Masahiko

Watch me turn your mind into my home.
  • Le Prince
  • 16 novembre
  • 28 ans
  • Japonaise
  • Saiki-komon & diplomate, anciennement double champion olympique de patinage artistique
  • Takahashi
  • Alpha
  • Nijisanji EN - Vox Akuma

Caractère

Masahiko Omori est un homme compliqué et difficile. Intransigeant avec lui-même et les autres il n’accepte rien de moins que la perfection. Il ne pardonne pas, même s’il souffle que ce n’est pas grave et que son sourire est doux, il vaut mieux ne pas s’y fier. Non, car le Prince est un maître en ce qui concerne le mensonge. Ses cousins sont les seuls à connaître la vraie nature de l’Alpha : froide. Comme la glace sur laquelle il aime tant patiner, son cœur est aussi froid que le fond d’un océan. Il n’a que très peu d’empathie pour les autres, ne sachant pas se mettre à la place d’autrui, Masahiko a appris par mimétisme. Lorsque quelqu’un pleure, on lui parle avec douceur, trouvant des mots gentils pour le réconforter. Lorsque quelqu’un est en colère, on le raisonne, avec des mots sensés pour le calmer. Lorsque quelqu’un est excité, on trépigne aussi, avec des mots enthousiastes pour partager sa joie. C’est un homme intelligent, il ne lui a fallu que se calquer sur ses cousins.

Son physique plus délicat que la plupart des autres Alphas n’est qu’un piège sucré dans lequel vous feriez bien de ne pas tomber. Il n’est, de très loin, pas le plus faible du trio. Calculateur, stratégique, manipulateur, menteur, il révèle juste assez pour que cela suffise. Il prétend qu’il ne sait pas alors qu’il est celui qui distribue les cartes. Son or devient humide de larmes en entendant vos malheurs et son cœur se serre en partageant votre douleur. Il vous écoutera, vous conseillera, vous tenant bien fermement dans la paume de sa jolie main fine. Tout se monnaie, tout s’achète, s’échange, se paie ou se corrompt. Tout le monde à un prix. Éloquent, discret, délicat, sensible, réfléchi, fort, distant, charismatique. Tant de mots pour le décrire alors que ‘prêt à tout pour sa famille’ serait largement suffisant.

Sa loyauté revient au clan. Peu importe qui se trouve à sa tête.  Il n’hésitera pas à sacrifier des pions si cela peut protéger son Roi. C’est peut-être la raison pour laquelle Kou a décidé de lui donner ce rôle. Son apathie pour les autres lui permet de prendre des décisions que d’autres hésiteraient à prendre ou à proposer. Masahiko ne pense pas aux autres, l’être humain est secondaire, sacrifiable, remplaçable, résultant à un jugement qui n’est jamais obstrué par des sentiments ou des émotions parasites. Ses choix sont purement basés sur des faits : Bénéfices ou pertes. Malgré cela, il est le diplomate. Sa vision limpide et dénuée de sentiments lui permet de trouver des consensus justes. Ou non, cela dépend de son propre intérêt dans cette affaire.

Patient, il n’a pas le moindre problème à attendre des heures, des jours, des semaines, des mois ou des années pour voir la finalité de l’un de ses plans. Il laisse le temps au temps. Et si c’est pour avoir la satisfaction d’apprécier son travail méticuleux arriver à ses fins, c’est encore mieux. La précipitation n’est bonne que pour les animaux sans éducation qui ne savent pas apprécier un bon vin. Très peu pour lui. Il a le temps. Masahiko le prendra, le temps, pour voir son venin se répandre lentement dans un organisme. La lenteur d’une mort certaine est un spectacle bien plus agréable à contempler qu’un travail bâclé et incertain. Le plaisir d’une œuvre réalisée avec soin. Masahiko n’est pas particulièrement violent, contrairement à ce que son caractère pourrait laisser penser. Oh, il n’aurait pas le moindre mal à torturer ou frapper des gens, mais il a des subordonnés pour le faire alors autant ne pas se salir les mains. Si on le lui demande, il le ferait, mais c’est tout.

Le respect est important pour lui. Il ne fait confiance à personne, mais il a du respect pour les autres. Dans la mesure du possible du moins. Et tant que personne ne lui manque de respect il n’a pas de raison de se montrer plus désagréable que nécessaire. Non, c’est amusant parce que les gens qu’il rencontrent ont même tendance à dire qu’il est un homme social et sympathique. Intelligent, doux et drôle.

Charmant, notre doux prince est d’une éloquence qui va de pair avec sa grâce. Il n’a pas besoin de hausser le ton pour être entendu. Son calme glacial tend à faire taire ceux qui ne veulent rien entendre quelques secondes pour qu’il puisse intervenir. N’ayant pas vraiment d’autres intérêt que celui de la famille, en dehors du sien, bien évidemment, Masahiko se retrouve bien souvent à endosser un rôle de médiateur de par sa capacité à émettre un jugement parfaitement neutre si besoin est. Ça ne lui plait pas plus que cela, mais il veut bien être le Roi Salomon puisque personne d’autre n’a envie de le faire. De toute évidence les bébés restent des créatures suffisamment déplaisantes pour être coupées en deux en dernier recours.

Égocentrique, Masahiko a été élevé dans le seul but d’être un joyau de perfection et il l’est. Il tend à tout ramener à lui dans sa vie personnelle. Il est la raison de tout : votre bonheur ou vos malheurs. Il est le centre de l’univers et compte bien le rester. Étant donné qu’il n’est que rarement capable d’empathie, il aime qu’on lui dise qu’il est beau, intelligent, parfait, aimé, brillant, doué, talentueux. Tout ce qui flatte son égo surdimensionné. Il n’est pas idiot, il sait faire la différence entre un compliment et quelqu’un qui lui lèche les bottes, mais les deux sont appréciables, si vous voulez son avis. Voir les gens ramper pour un peu de son attention le rend tout aussi chose. Un homme simple, voyez-vous.

De fait, notre bon Prince n’a que du mépris pour les omégas et les betas. Ils ne méritent pas de respirer le même air que lui alors le toucher ? Ew. Non. Non, non, non, Masahiko est bien trop précieux pour se mélanger au petit peuple. Il n’apprécie que la réconfortante compagnie des autres alphas. Ça ne le rend pas particulièrement hostile en la présence des autres genres, simplement plus hautain. Et il n’hésite pas à user de tous les moyens pour les faire obéir. Parce qu’ils ne sont bons qu’à ça : Obéir.

Probablement une des raisons pour lesquelles il aime patiner. Tous les regards sont sur lui, lui uniquement. Il est beau et talentueux. Ce sont aussi les seuls moments où il arrive à exprimer ce qu’il ressent puisqu’il passe le plus clair de son temps à mentir et enterrer ses émotions au plus profond de lui-même.

Physique

Du haut de son 1m84, Masahiko n’est de loin pas parmi les plus grands des Alphas, mais il compense avec une énorme classe. (Ouais ouais, je sais ce à quoi vous vous attendiez). Une silhouette fine et délicate digne d’une geisha. Une chevelure noir ébène, assez longue, qu’il coiffe en chignon ou qu’il laisse libre retombant avec légèreté sur ses épaules. Des sourcils fins, de jolies lèvres élégamment dessinées, elles ne sont ni trop étroites ni trop pulpeuses. Un visage d’une beauté froide, parfois jugé trop sévère de façon douce pour un homme, Masahiko a tous les traits d’une créature très androgyne. Et ça lui plait bien de semer le doute dans l’esprit des gens. Il n’y a que lorsqu’il prend la parole de sa voix chaude qu’il éclipse toutes hésitations.

Il ne compte plus le nombre de fois où il a été appelé ‘Madame’. Le Prince en joue un peu, c’est vrai. Il aime énormément les kimonos féminins, les trouvant bien plus travaillé que ceux des hommes, et les broches pour ses cheveux. Il a un petit faible pour les colliers à pendentifs et les boucles d’oreilles. D’ailleurs si vous lui posez la question : Il pense faire une bien meilleure femme que les femmes. À son humble avis, évidemment. Cependant, malgré son attrait pour les vêtements de la gent féminine, son corps lui ne trompe personne. Une musculature saillante de sportif de haut niveau.

Son dos est parcouru par le tatouage d’un cerisier en fleur. Large et fleuri il part du milieu de sa cuisse gauche, s’étendant dans son dos avec élégance ainsi qu’une délicatesse aérienne, certaines de ses branches finissent leur course sur ses épaules et ses bras. Sur sa cuisse droite ondule un serpent qui rampe jusqu’à son dos, se perdant dans les pétales de son cerisier, s’enroulant furtivement le long de l’écorce avant de se lover contre sa hanche pour sinuer encore un peu sur son ventre jusqu’à venir y reposer sa royale gueule. Deux grues dansent une voluptueuse valse le long de son bras droit, un couple de perfection. Son bras gauche est un paysage hivernal parcouru de huit koïs nageant parmi les flocons. Le cerisier de la prospérité, le serpent de la sagesse et de la suprématie, l’équilibre des grues de la bonne fortune, l’hiver de sa passion artistique, les huit koïs de sa conscience individuelle au service de l’œuvre collective de sa famille après avoir vaincu l’adversité.

Ses phéromones sentent l'ambre. Ça se rapproche du miel lorsqu'il est de bonne humeur et c'est une senteur plus âcre lorsqu'il est de mauvais poil.

Histoire

Assis sur le banc, il attache les lacets de ses patins, il ne pense pas vraiment. Il ne doit pas. Il ne peut pas. Le Prince se redresse ensuite, allant vers la glace. Ses lames glissent avec aise sur la surface froide, et son corps agit naturellement. Son bras se déplie lentement accompagnant le mouvement de sa jambe libre qui s’étend. Il ne patine pas, il vole. Les ailes déployées, son être tout entier transpire l’élégance et ses pieds quittent le sol, le laissant prendre son envol vers cette voûte céleste avant de revenir se poser sur la surface miroitante. Il tend les bras en atterrissant, invitant une âme invisible à se blottir au creux de ces derniers. Ses mains trouvent refuges contre son poitrail, alors qu’il se replie sur lui-même, la douleur de la solitude est bien trop grande, alors ses doigts cherchent à caresser le visage absent d’une âme-sœur. Ses efforts vains pour trouver cet amour inexistant qu’il poursuivit somptueusement sur la glace n’en finiront donc jamais ? Lorsqu’il patine, Masahiko tient du divin. Ses mouvements sont fluides, la douceur de son expression ferait fondre les plus solides des cœurs de glace. Il progresse sur cet espace glacial, tel un flocon descendant du ciel : Sans réelle trajectoire, bercé au gré du vent, l’innocence d’une fragile grâce, jusqu’à atteindre le sol.

Le sol ? Masahiko ne le connait pas. Il n’existe que lorsqu’il décide de sortir de la patinoire. Alors il n’en sortira plus jamais. Jamais plus. Le patineur accepte de mourir tant que c’est sur la glace. La pureté de sa danse lente sur le cristal blanc sous ses lames n’en finit plus, il risque de manquer de souffle. L’homme doit s’arrêter. Ignorant son manque d’air, il décide de prendre la fuite vers le ciel une dernière fois. Un saut exécuté à la perfection, avec une aisance déconcertante, qui ne fait qu’accroitre son envie de s’obstiner. À rester. Il finit par ralentir, rejoignant le bord de la piste. Haletant, il replace quelques mèches égarées dans son chignon. De longues mèches ébène qui n’ont pas su se tenir tranquille pendant son ballet hivernal. L’une d’elles ne semble vraiment pas avoir envie de rester en place, alors, de ses doigts gantés, il la glisse derrière son oreille. La sueur perle son visage ce qui ne change rien à sa beauté sévère, pour certaine personne cela pourrait presque le rendre encore plus désirable.

– Je savais bien que tu serais là, Masahiko !
– Aurais-je pu être ailleurs ?
– J’sais pas, sourit la jeune femme. C’est dommage que tu ne fasses plus de compétitions... Le monde mérite de te voir sur la glace.

Un silence.

Puis la jeune femme commence à se confondre en excuses, Masahiko lui sourit avec douceur, la rassurant. Il n’est pas blessé. Non, c’est bien pire que cela, il est meurtri. Une plaie béante qui semble refuser de guérir. Il se souvient encore lorsqu’il patinait en couple. Les sensations qui ont parcouru son corps. Le frisson de n’être qu’un. Patiner avec quelqu’un ressemble à une nouvelle langue. Une langue qui ne se parle pas avec des mots, mais des gestes. Une complaisance douce dans le silence qui accompagne chaque geste, chaque posture, chaque caresse. Deux âmes qui s’alignent sur le même axe pour faire battre deux cœurs à l’unisson dans la perfection d’une danse gorgée de tendresse. Est-ce que le patineur s’en remettra ? Sûrement. Si le temps accepte de faire son œuvre afin de lui permettre de tourner les pages de ce chapitre qu’il ne parvient pas à quitter.

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Pouvez-vous présenter en quelques mots ?
Il rit légèrement : « Ohlala ! C’est difficile comme exercice ! » Il a l’air de vraiment chercher une bonne façon de le faire. « Masahiko Omori, patineur olympique et doublement champion du monde. C’est bien comme ça ? »

Oui, mais il manque votre signe, groupe sanguin et votre âge !
Un autre rire : « Je suis scorpion, AB négatif et j’ai vingt-trois ans. »

Comme vous ne donnez pas beaucoup d’interview, Omori-sama, (c’est bien comme ça qu’on dit au Japon ?) vos fans ont beaucoup de questions ! J’espère que vous êtes prêt !
« Oh, quelle pression ! Oui, oui, c’est juste ! Ça me fait bizarre d’entendre ça. Ça fait longtemps ! Je vais faire de mon mieux pour satisfaire la curiosité de tout le monde alors ! »

Vous avez grandi à Tokyo, c’est bien ça ?
« Pas du tout ! Je suis né et ai grandi à Kyoto. Pour être honnête la première fois que je me suis rendu à Tokyo c’était pour les Nationals, j’avais quatorze ans. D’ailleurs, je me suis perdu dans la patinoire et mes parents ont bien failli en faire une syncope. » Il rit à nouveau.

La rumeur court que vous prenez votre retraite...?
« Ah... Alors nous allons vers les sujets larmoyants ? C’est vrai. Après les JO, je me retirai pour laisser une chance à d’autres de remporter quelques médailles d’or. » Un nouveau rire.

Extrait d’un magazine de 2016.

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Haletant, le jeune alpha tente tant bien que mal de garder sa prise autour de la nuque de son petit ami, seulement chacun de ses coups de rein menace de faire sombrer l’esprit de Masahiko dans l’inconscience. Il ne s’en plaint pas vraiment, c’est ainsi qu’il aime se faire prendre, mais pour la forme, il se doit de trouver quelque chose à redire. Il rejette la tête vers l’arrière, essayant de ne pas gémir trop bruyamment en sachant pertinemment que quiconque entrerait dans les toilettes saurait sans le moindre doute ce qu’il s’y passe. D’ailleurs la porte de la pièce s’ouvre et les sourcils du jeune homme se froncent. Les pas se rapprochent de plus en plus de leur cabine et Masahiko place ses mains sur sa bouche pour ne pas rire, San lui grimace légèrement priant intérieurement pour que cela ne soit que l’un de leurs camarades de classe.

– O-Omori-senpai...?
– Quoi ? Il se mordille la lèvre, replaçant ses mains sur les épaules du grand noiraud.
– Takahashi-senpai te cherchent...
– Ils attendront ! Masahiko pince ensuite la nuque de San. Personne n’a dit que tu pouvais ralentir !

Un gémissement plus aigu lui échappe alors l’autre pauvre alpha se jette sur ses lèvres comme si cela pouvait changer quoi que ce soit à ce qui venait de se passer. Masahiko sourit contre ses lèvres, le gardant proche. C’est l’une des choses qui le font fondre : San est débilement attentionné. Il entend la demoiselle toquer à la porte, comme si cela allait faire avancer la situation plus rapidement. Masahiko souffle un rire, décidé à donner de la voix en réponse. Jusqu’à ce qu’il sente son corps se tendre, un long soupir lui échappe alors qu’il se laisse aller finissant sur son propre torse. San secoue la tête en attrapant de quoi le nettoyer. Le jeune homme le laisse faire puis se rhabille en prenant son temps. Parce qu’il est évident que les personnes importantes sont toujours attendues. Puis il ouvre la porte, observant la jeune fille qui ne sait plus où se mettre.

San passe son bras autour des épaules de Masahiko en suivant Aoi jusqu’à ses cousins. Et donc ils arrivent dans la classe et ces deux idiots sont là, à siéger tels de rois sur leurs chaises. Kou et Akira observent l’Alpha qui n’était pas invité longuement. Tellement intensément que Masahiko finit par rouler des yeux avant de le congédier. En quoi est-ce que ça les regarde ? Il peut bien sortir avec qu’il veut. Mais voilà, c’est ‘insultant’ pour un Takahashi de fréquenter un boursier. C’est avec un certain agacement qu’ils leur rappellent qu’il est un Omori. Ça ne semble pas les affecter. Puis la conversation dévie sur ses propres parents, demandant si ces derniers savent pour San.

La réponse est non. Du moins, était. Il ne fallut que deux jours pour que sa mère soit mystérieusement au courant de sa relation. Masahiko ne le cachait pas vraiment, mais cela ne concernait pas du tout ses parents.

– Je me demande bien comment ce genre de rumeur a pu arriver jusqu’à vos oreilles, mère.
– C’est bien le problème, Masahiko ! Si j’en ai entendu parler, qu’est-ce que les autres familles ont bien pu entendre ? Tu ne peux pas fréquenter ce-ce genre de personne.
– Je ne vois pas bien en quoi c’est un-
– Ce n’est pas une conversation. Si tu ne te sépares pas de lui, tu peux dire adieu au patinage.
– Bien.
– Bien ?
– Oui, mère.
– Pourquoi faut-il que tu cherches sans cesse à me faire honte...

Un sourire sans joie flotte sur ses lèvres alors qu’il s’incline avant de sortir du salon. C’est de cette manière que Masahiko a appris que les secrets sont ses meilleurs amis. Que ses amis, proches ou amants ne doivent appartenir qu’à lui. Et que pour le reste du monde, il est seul.

Cependant le plus dur dans cette histoire a été de devoir supporter la vue d’un San brisé pendant tout le reste de ses études. Même si son empathie n’est qu’une ombre, pour lui, il l’avait laissée l’envelopper. Pour lui, Masahiko a bien voulu écouter ses murmures dans les hurlements des loups de givre qui règnent en maître incontestés dans son esprit. Pour San, il a aimé et sans lui il préfère asphyxier toutes ces émotions qui l’ont rendu si sensible et se jeter à corps perdu dans tout ce qui pourrait lui permettre d’oublier. Relations sans importance. Sexes avec tous les alphas qui passaient à portée de ses griffes. Son corps a fini par réagir par conditionnement. Sourire parce que c’est ce qu’on attend de lui. Aimable parce que c’est ce qu’on attend de lui. Disponible parce que c’est ce qu’on attend de lui. Le protéger de sa famille parce que c’est ce que Masahiko lui a promis. Personne ne lui ferait de mal. Jamais. Il ne le permettrait pas. Briser le cœur de San était le dernier recours pour le mettre à l’abri de la folie de son propre sang. Le Prince s’était promis qu’il trouverait la force de ravager son cœur pour effacer toute trace d’amour pour sa personne. Masahiko savait que cela le détruirait lui aussi dans le processus, mais ce n’était qu’un maigre sacrifice en comparaison à ce que sa mère aurait pu lui faire subir, à lui ou sa famille.

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Est-ce que vous avez quelqu’un dans votre vie ?
« Oh la... Non. Je n’ai pas le temps d’étudier, m’entrainer et avoir quelqu’un qui partage ma vie malheureusement ! » Un petit rire lui échappe.

Bon, d’accord, mais il y a bien eu quelqu’un ?
« Pas vraiment. Peut-être lorsque j’étais plus jeune. Je ne m’en souviens pas. Entre le kungfu, le patinage, les études, les voyages pour les compétitions... Je ne sais pas trop où j’aurais pu caler un amour. »

Et pour le futur, alors ?
« Ah ! Je n’arrive pas à croire que toutes ces questions viennent des fans. Je peux jeter un œil à la liste ? » Après un court combat pour garder ma liste, l’interview a pu reprendre dans les rires et la bonne humeur. « Je ne sais pas. Je m’en remets à mes parents pour me trouver quelqu’un de convenable. »

Bon très bien, ça restera un secret ! Double champion du monde ?
« Je ne vais pas au JO pour une médaille d’argent. » Bon ! Apparemment monsieur Omori n’a pas l’intention de repartir sans médaille d’or !

Extrait d’un magazine de 2016.

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Malgré tous ses efforts pour garder sa famille loin des Takahshi, Michiko ne peut empêcher Eiichiro de les convoqués s’il le souhaite. Après des années d’excuses à passer encore les mailles du filet, cette fois elle n’a absolument pas réussi à les éviter. Voilà comment elle, son mari et leur fils se sont retrouvés au milieu des fêtes en ‘famille’. Quelqu’un fait une remarque à propos Masahiko, persuadé d’avoir compris que Michiko avait eu un fils et non une petite fille. Kazuki, son époux, balaya la blague d’un simple revers de main. La jeune femme, mal à l’aise, relâcha sa prise sur l’enfant en lui disant d’aller jouer avec les autres.

Masahiko n’a jamais été timide. Non, il n’a aucun mal à se trouver au milieu d’inconnus. Il lui faut simplement un petit temps d’observation avant. Savoir qui est la personne qui décide. Ce qui se trouve être pas un, mais deux de ses cousins. Alors il écoute, il essaie de comprendre les règles du jeu aussi, mais très vite il s’en désintéresse pour aller observer un chaton qui joue avec sa queue dans un coin du jardin intérieur. Alertés par les cris de l’animal, ses deux cousins finissent par rappliquer rapidement.

– Masahiko ! Arrête tu lui fais mal !
– Et alors ?

Le petit garçon qui tient le chaton par la queue sans délicatesse ne semble pas comprendre pourquoi Kou est en train de paniquer. Akira s’occupe de récupérer l’animal alors que Masahiko regarde ses cousins complètement confus.

– Parce que c’est mal !

‘Mal’ ? Ses petits sourcils se froncent en regardant le petit chat dans les bras d’Akira. Sa mère lui dit souvent qu’il fait les choses ‘mal’, mais il ne comprend pas vraiment pourquoi. Alarmés par les cris, les adultes finissent par arriver dans le jardin. La mère de Masahiko se rue vers l’enfant, l’inspectant sous toutes coutures pour être sûre qu’il n’est pas blessé. Son fils la regarde faire, ne comprenant pas pourquoi c’est elle qui est paniquée. Elle demande aux deux autres garçons ce qu’il s’est passé, alors Kou explique que Masahiko était en train de maltraiter le chaton. Ce à quoi l’accusé répond qu’il ne faisait que jouer.

– Pourquoi tu ne peux pas être comme tous les autres enfants ? Pourquoi est-ce qu’il faut toujours que tu fasses des choses étranges ! Tu me fais hontes Masahiko.
– Calme-toi Michiko. Ce n’est qu’un enfant.

Kazuki Omori vient prendre dans ses bras son fils que sa femme était en train de secouer. Décidément... Il ne sait pas lequel des deux est le plus dysfonctionnel, mais une chose est sûre : secouer un petit garçon de cet âge dans tous les sens ainsi ce n’est pas l’aider. C’est de cette manière que Masahiko a appris qu’il doit agir comme les autres pour éviter de se faire réprimander.

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Masahiko est assis sur le banc à côté d’Akira, tous les deux regardent Kou qui tente de les impressionner. L'or de ses yeux perd le spectacle de vue pour se poser sur le dos de San. Le jeune homme est avec ses propres amis un peu plus loin dans la cour et il semble avoir un franc succès dans la conversation qu’ils ont de leur côté. Masahiko a l’impression qu’il est à l’autre bout de l’univers. Qu’un abysse les sépare. Infiniment profond et terriblement froid. Depuis combien de temps ont-ils rompu ? Trop longtemps à son humble avis. Son rire lui manque. Il penche la tête, perdu dans ses pensées en l’observant, ne se détourne pas lorsque son ex se tourne vaguement dans sa direction. À des millions d’années lumières l’un de l’autre, leurs yeux se croisent, finalement Masahiko se détourne en souriant. San ne lui adresse plus la parole depuis qu’ils ne sont plus ensemble. Pas un seul mot. Pas un seul message. Rien. Comme si Masahiko et lui ne s’étaient jamais connus.

– Tu sors ce soir ? Demande Akira.
– Nah. Ma mère est sur mon dos en permanence.
– L’ambassadeur est pas là ?
– Eh non. Quand il n’est pas là pour la baiser, elle s’ennuie alors elle me casse les couilles.

Et c’est tristement vrai : lorsque son père est en déplacement sa mère prend un malin plaisir à ruiner la vie de son fils de façon constante. Il va finir par croire que si la frustration la bouffe, il doit absolument la vivre aussi. Les femmes sont des créatures compliquées en plus d’être inutiles. Masahiko ne le vit pas spécialement mal, devenu plutôt doué pour être particulièrement désagréable lui aussi. Alors il écoute simplement le planning de cette soirée qu’il ne pourra pas faire avec ses cousins parce que sa chère et tendre mère est une plaie sur pattes. Au moins, il a quelqu’un sur qui déchainer son agacement né de sa nouvellement regagnée solitude. Heureusement qu’il existe la patinoire, sinon la mère et le fils se seraient certainement entretués il y a bien longtemps.

– Comment tu fais pour avoir des notes astronomiques avec le patin, tes cours de langues, le kung-fu et les sorties ?
– Je suis quelqu’un d’organisé, Aoi.

La demoiselle fait une petite grimace perplexe. Masahiko n’a pas besoin de la voir pour le savoir. Il avait presque oublié qu’elle était là. Besoin d’une bouteille d’eau ? Demandez à Aoi d’aller l’acheter. Vous cherchez quelqu’un ? Demandez à Aoi d’aller le trouver. Le toutou bien dressé du groupe. Peut-être espère-t-elle gagner les bonnes grâces des Takahashi ainsi, mais le trio ne semble pas vraiment intéressé par sa personne plus que son utilité pratique et son efficacité digne d’un fin limier. Du moins Masahiko n’en a pas différent usage. Depuis qu’il a rejoint ses cousins au lycée, beaucoup de choses ont changé. À commencer par le regard des autres : Sa pauvre mère qui avait lutté tant d’années pour l’éloigner des Takahashi, yakuzas et autres joyeusetés alors qu’elle est née Takahashi se sont envolés lorsque qu’il s’est retrouvé miraculeusement dans la même classe que ses cousins du même âge.

Les garçons se sont rencontrés plusieurs fois à des réunions de famille et autres, mais Michiko a veillé à limiter les interactions de son fils avec sa propre famille au strict minimum. ‘De la mauvaise graine et une mauvaise influence pour toi’ lui a-t-elle dit un jour. Donc évidemment lorsque Masahiko a découvert qu’ils étaient tous dans la même classe, il s’est empressé de les rejoindre. Pour le meilleur, mais surtout le pire, cela va de soi. Les trois s’entendent merveilleusement bien.

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Dans l’une des rares autres interviews que vous avez donnée, vous avez dit que vous ne vouliez pas d’un animal de compagnie. Ok, mais si vous deviez choisir : Chat ou chien ?
« Lapins ! J’ai un lapin » Il hoche, plutôt sûr de sa réponse.

Un lapin ! Adorable ! Comment s’appelle le lapin ?
« Il s’appelle San. »

San le lapin ! Depuis combien de temps l’avez-vous ?
« Il a huit ans déjà. Je l’emmène partout. C’est un cadeau de mon père lorsque j’avais seize ou dix-sept ans, je ne sais plus exactement. »

Team lapin alors ! Et sinon vous avez des hobbies ?
« J’aime beaucoup méditer, le tai-chi-chuan et le ballet. »

‘Esprit sain dans un corps sain’ ?
« Tout à fait ! » a-t-il dit avec un sourire incroyable.

Extrait d’un magazine de 2016.

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Penché sur la rambarde au bord de la patinoire, Masahiko, du haut de ses seize ans, le menton logé dans la paume de sa main est bien trop occupé à se perdre dans ce regard ténébreux de celui qui lui fait face. C’est bien la première fois qu’un homme le rend tout chose. Pas qu’il ait eu un doute ses préférences, simplement aucun n’a su l’intéresser suffisamment pour qu’il ne se lasse pas après quelque temps. Et pourtant San n’a rien de vraiment extraordinaire ou alors rien que l’on ne puisse penser de mieux qu’un autre. Et malgré tout, il y a dans sa façon de lui sourire quelque chose qui rend fou le cœur du patineur. Son rire crée une tornade de confusion dans son esprit. Peut-être est-ce parce qu’il n’a jamais démontrer le moindre intérêt pour lui au début. Peut-être est-ce parce que c’est un jeune homme brillant, tout comme lui. Peut-être est-ce parce qu’il le traite de la même façon que toutes les autres personnes dans son entourage. Peut-être est-ce sa façon de froncer les sourcils lorsque Masahiko dit ou fait quelque chose qu’il considère comme inapproprié.

– Ton entraineur nous fixe.
– Est-ce qu’il a l’air furieux ?
– Mhh... San penche la tête en observant l’homme qui commence doucement mais sûrement à perdre patience. Si tu lui donnes encore quelques secondes, ouaip.

Son petit ami ne le regarde même pas, il n’en a pas besoin, et ce petit sourire en coin fait manquer un battement à son cœur fragile. San tourne la tête vers lui, un air interrogateur naissant sur ses traits, puis il se lève rapidement pour venir voler les lèvres de Masahiko. Ce dernier n’est pas spécialement petit et pourtant lorsque San attrape son visage avec ses mains pour l’embrasser, il doit se pencher sur lui et Masahiko se sent minuscule. Il le sent se reculer alors il saisit son t-shirt pour le ramener à lui. Personne n’a dit qu’il pouvait arrêter de l’embrasser. Masahiko se laisse emporter dans le doux baiser, appréciant le sourire qu’il a pu sentir naître sur les lèvres de son amant.

– Eh bien ? C’est ce que tu fais pendant tes leçons hors de prix, Masahiko ?
– P-père ? Entendant la voix de son géniteur, Masahiko s’est vivement reculé de San.
– Je suis rentré plus tôt que prévu alors je me suis dit que j’allais passer pour regarder les progrès de mon talentueux fils. Visiblement qui a plus intéressant à faire que patiner dans l’immédiat. Kazuki sourit en regardant les deux jeunes hommes aussi rouge et gênés l’un que l’autre. Et à qui ai-je l’honneur ?
– Shimizu San, Monsieur.
– Shimizu...

Masahiko ayant recouvrer son air impassible analyse sereinement les trais de son père qui semble chercher dans le tréfonds de sa mémoire si ce nom de famille lui dit quelque chose. Bien sûr que non, le patineur le sait, puisque San ne fait pas partie des hautes sphères. Il est inquiet du jugement que son père portera sur lui en réalisant que son fils roucoule avec le petit peuple aux yeux de tous, mais étonnamment il ne semble pas plus perturbé que cela. Masahiko observe l’échange entre son père et son petit ami. Il n’intervient pas puisqu’il estime que son père a le droit de questionner un jeune alpha qui fricote avec son fils unique. Sa légèreté et sincère sympathie pour San lui échappe complètement. Si cela avait été sa mère San aurait été renvoyé chez lui sans même un mot gentil.

– Va donc patiner, toi. J’ai des choses à dire à ce jeune homme.
– Allez-vous au moins regarder ?
– Je peux lui tenir compagnie et te regarder patiner, fils.

Avait répondu Kazuki avec amusement et un petit sourire espiègle. Masahiko avait roulé des yeux en marmonnant ‘ne m’embarrassez pas totalement’ avant de rejoindre le centre de la patinoire avec une élégance naturelle pour travailler son programme pour le plus grand plaisir de son entraineur au bord de la crise de nerfs.

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Saiki-komon... Assis sur sa chaise, Masahiko écoute sagement ce qu’il se passe autour de cette table. Quelle drôle d’idée. Ses ambres se posent sur Akira. Il boue de l’intérieur. Il n’a jamais été le plus calme d’entre eux. Bien trop émotionnel pour son propre bien. Du point de vue Masahiko du moins. Peut-être que finalement c’est une bonne chose que cela soit Kou qui ait succédé à Eiichiro. Dans son kimono de soie pastel, Masahiko observe en silence, caressant avec douceur le lapin qui dort dans ses bras. C’est un problème. Leur belle famille a désormais un ennemi conséquent, ils n’ont pas le temps de s’entretuer entre eux. Mais allez donc essayer de raisonner des mafieux et leurs égos d’alpha. Akira a fait la réflexion il y a longtemps : ‘Tu as été élevé comme une femme’. Peut-être bien, ou peut-être qu’il lui est simplement plus aisé de ne pas penser avec sa fierté de façon inappropriée.

Il sourit en pensant que sa pauvre mère a fait des pieds et des mains pour le tenir le plus éloigné possible de toute cette partie de la famille et le voilà à siéger aux côtés du nouveau Oyabun. N’était-ce pas elle qui l’a forcé à mettre un terme à sa carrière de patineur pour rentrer au Japon ? N’était-ce pas elle qui décidé qu’il ne serait vu qu’en compagnie des Alphas qu’elle choisirait pour lui ? Eh bien il espère qu’il a rend sa très chère mère fière.

Les Omori lui ont demandé de tenir un profil bas. De ne pas être trop lumineux. C’est ce qu’on lui a demandé toute sa vie. Le patinage ? Une carrière ? Jamais. Un hobby, au mieux. Alors Masahiko s’est tenu tranquille pendant quatre ans. Avant que tout vole en éclat. Que leur petit monde bien rangé soit chamboulé par une terrifiante trahison. Trahison que le propulsa sur le fauteuil où il siège aujourd’hui. Dans son kimono de soie pastel, Masahiko Omori observe, écoute et compte bien ramener l’ordre dans ses rangs avant de marcher sur les traitres. Il penche la tête en posant les yeux sur le vieux lapin dans ses bras, il n’a pas l’air bien...

DERRIÈRE L'ORDINATEUR
COUCOU C’EST ENCORE MOI ! Momiji le terrible 👀
Masahiko Omori
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Invité
Invité
Anonymous
Dim 30 Jan - 18:08
Re-bienvenue ! Masahiko Omori 2754776561

Tu connais ma hype pour ce perso incroyable, hâte de le voir en jeu et de le croiser un jour au détour d'une rue Masahiko Omori 3277378127

Par contre...
Il penche la tête en posant les yeux sur le vieux lapin dans ses bras, il n’a pas l’air bien...

Don't you dare kill the bunbun. Masahiko Omori 2740276265
Invité
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Alpha
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Alpha
Messages : 350
Fiche de présentation : TEXTE
Sam 5 Fév - 12:35






Félicitation !


Fiche validé

Tu es désormais validé !

Tu peux donc dès maintenant aller faire ta fiche de relations ainsi que ton récapitulatif RPs.

Tu as également la possibilité d'aller faire ta demande de logement pour éviter que ton personnage ne couche dehors et d'aller faire une demande de RP ou bien répondre à une demande déjà postée, pour commencer tes aventures sur le forum !

Et n'oublie pas d'aller recenser ton avatar/métier/clan/love interest dans les recensements sait on jamais, peut etre que tu y trouvera l'élu de ton cœur ?

Bonne aventure parmi nous ♥



Alpha
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